L’un de nos chroniqueurs régulier, Xavier, a fait l’acquisition d’une imprimante 3D, la Prusa i3 MK3S. A quoi doit on penser quand on fait ce genre d’achat ? Pourquoi celle-ci ? Comment se sont passé l’assemblage et les réglages ? Quelles sont les premières “impressions” ? Bonne écoute !

5 Commentaires

  1. J’ai deux imprimantes 3D, une générique « type prusa » et une autre « type delta », pour ma part je préfère la seconde, la pièce ne subit pas de secousses car elle ne bouge pas c’est la tête qui bouge. Mais à par cela on peux obtenir de bon résultats avec les deux technologie lorsque les imprimantes sont bien paramétrées.
    D’autre part cela fait maintenant un bon moment que je vous écoute et j’aimerai bien entrer en contact avec vous car nous avons plein de points d’intérêts communs. Les vielles machines (C64, Amiga, …), le logiciel libre, je suis utilisateur et pourvoyeur de Linux depuis très longtemps (env.. 1996). Je vous rejoint dans la plupart de vos points de vu. Enfin bref j’arrête là, mais je vous trouvent géniaux et j’avoue que que je serait flaté de faire une ou plusieurs chronique avec vous dans le futur, dans la mesure de ma disponibilité ( je tiens une boutique..) et de votre volonté de accueillir bien sûr..
    Dans tout le cas encore merci pour vos podcasts, il me font passer de bon moments chaque semaine.

    Je vous laisse, j’ai du boulot !

    A bientôt

  2. Je plussoie tout ce qui est dit ci-dessus (perso, webcam qui filme l’impression et prise connectée pour l’arrêter si elle foire, ça évite le gâchis de filament).
    Juste une petit plus à essayer… le PETG Plus ‘solide’ que le PLA (meilleur lien entre les couches), plus résistant (car un peu plus ‘flexible’, donc il rompt moins vite) et (quasi) aussi facile â imprimer que le PLA et énormément plus facile que l’ABS (pas de warping).

    • Oups… j’ai commenté avant le visionnage… Xavier avait tout dit… parfait ? et merci pour ce hors-série qui je suis sûr aura décidé l’un ou l’autre à se lancer dans le monde de l’impression 3D (même si niveau budget, on est pas dans du premier prix, mais au moins avec cette imprimante on peut obtenir de super résultats tout de suite sans faire 10.000 modifications et des heures de règlages ce qui n’est pas le cas des imprimantes ‘premier prix’)

  3. En complément de ce HS j’ajoute quelques éléments et retour d’XP. Je déconseille clairement d’imprimer sans surveillance de l’imprimante. Le filament peut se bloquer, le GCODE être corrompu ou le firmware de l’imprimante qui plante. Et là, avoir une buse à 200°c qui chauffe dans le vide peut sérieusement provoquer un début d’incendie. Pour cette raison il est conseillé d’avoir un détecteur et un extincteur à proximité de l’imprimante.

    Aussi avec le temps on se rend compte des limites des matériaux. Imprimer un bouton sur un four peut être une mauvaise idée car le PLA se ramollit à partir de 50-60°c donc les contraintes mécaniques ne vont pas être satisfaites. Même chose pour les pièces qui vont être exposées au soleil en plein été, ça ramollit.

    Pour tout le reste, la 3D est un excellent moyen de tout réparer 🙂 mais aussi et surtout de faire du sur-mesure. Et c’est probablement le plus satisfaisant. Aussi, le PLA se travaille, se ponce, se perce, une pièce imprimée peut donc s’affiner avec quelques outils.

    Enfin, le sens d’impression est très important. C’est lui qui va déterminer la solidité de la pièce, car c’est dans le sens ou les couchent se superposent que c’est le plus fragile. Avec le temps on en tient compte à la création de la pièce (fusion 360 ou tinkercad de autodesk aussi pour les débutants).

    Mais je partage, tout ça fait peur au début mais les machines sont relativement faciles à utiliser avec les tutos dispo sur le web.

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