Voici l’épisode 229 des Technos. Le 8ième de notre 6ième saison. Au programme cette semaine on vous parle de la victoire d’Agoria Solar Team (l’équipe belge remporte le championnat du monde des voitures solaires), du neuf dans la mesure du diabète et cela sans piqûre, de la Chine qui passe à la vitesse supérieure dans le contrôle de sa population, du truc de Huawei pour contourner les sanctions américaines. On fait le point sur l’événement et les annonces “Made by Google 2019” et nous parlons également du retour de la GameBoy avec nos deux chroniqueurs de la semaine, Benoît et Bruno. Bonne écoute !

A comme Analogue (00:02:52)

  • Analogue Pocket, Gameboy revient ! (source)

C comme Chine (00:07:29)

  • Scan du visage obligatoire ! Pour avoir internet ou un numéro de téléphone. (source)

C comme Cocotte (00:15:19)

D comme Dyson (00:19:27)

  • Dyson laisse tomber son projet de voiture électrique. (source)

H comme Hopital (00:24:06)

K comme Kyocera (00:32:12)

  • Mesurer le diabète sans piqure. (source)

L comme LiveWire (00:38:37)

  • Harley-Davidson stoppe la production. (source)

M comme Made by Google (00:43:10)

  • Nest Mini, Nest Hub Max : on fait le tour des nouveaux gadgets. (source)

P comme Pizza checker (00:51:05)

  • Un scanner vérifie les pizzas Domino’s. (source)

S comme Sanctions (00:56:25)

  • Huawei: une solution pour éviter les sanctions. Huawei transforme l’Honor 20 en Nova 5T. (source)

S comme Solaire (00:59:05)

  • L’équipe belge Agoria Solar Team: Victorieuse ! Les belges remportent le championnat du monde des voitures solaires. (source)

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1 COMMENTAIRE

  1. Est-ce que délivrer des systèmes avec des vulnérabilités, ce n’est pas une façon de diminuer le coût [ou de raccourcir les délais] ?
    Absolument. Plus de 25 ans dans le métier, que ce soit pour des entreprises privées ou des institutions publiques, et on voit ça constamment.

    Mais comme vous l’avez suggéré, la vraie question quand il s’agit de sécurité, c’est quand s’arrêter ? Et là le privé a un grand avantage, car il peut faire une analyse de risque et arrêter la sécurité quand elle commence à être plus chère que ce qu’une brèche pourrait coûter (en amende, en perte de clientèle …) Il faut évidemment un certain niveau de maturité dans l’évaluation des risques et des coûts. Les banques par exemple utilisent ces outils pour prendre des décisions en terme de sécurité.

    Pour le public c’est beaucoup plus compliqué parce qu’il n’est pas possible de ramener les risques de sécurité à un coût. (Combien « vaut » la perte des PI ? Combien « vaut » une vie humaine ? Combien « vaut » le ralentissement anormal (ou la panne) d’un système administratif ?) Certains diront qu’il faut juste développer des applications parfaitement safe. C’est oublier qu’en informatique – comme dans beaucoup d’autres domaines – les coûts augmentent exponentiellement qu’en on cherche a se rapprocher de la perfection. Une application « parfaitement » safe aurait un coût infini.

    Et, malheureusement, dans le public, l’unité de mesure est bien souvent les risques de perte de popularité du ministre responsable, et pas l’intérêt de la population.

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