C’est avec David et Sébastien que nous allons parcourir notre revue de presse web et tech. Qu’est ce que la DLDSR et qu’est ce que ça va apporter à la gamme des cartes graphiques RTX de chez Nvidia ? Explication dans cet épisode. Un nouveau venu dans la famille des malveillants : SysJoker. Sa cible, les Mac ! La France compte une 25ème licorne : Exotech. Que fait cette start-up qui emploie 350 salariés et compte engager pas moins de 500 ingénieurs en recherche et développement d’ici 2025, on en parle dans ce numéro. Dans quelques instants on parlera évidemment de la grosse annonce de la semaine: l’acquisition de d’Activision Blizzard par Microsoft pour presque 70 milliards de dollars. Bienvenue et d’avance merci de vous abonner au Technos, merci également pour les partages de nos contenus dans vos réseaux.
A comme Activision Blizzard (00:02:06)
- Microsoft se paye Activision Blizzard. Un rachat à près de 70 milliards de dollars. (source, source, source)
C comme Chine (00:09:29)
- La chine construit une lune artifcielle. Pour simuler une faible gravité, la Chine a construit une deuxième Lune. (source, source)
E comme Elyze (00:16:24)
- Elyze hacké. Comment un développeur a identifié et aidé à corriger une faille de sécurité dans l’application Elyze. (source, source)
L comme Lenovo (00:27:22)
- Lenovo verrouille les CPU Ryzen. Lenovo a choisi d’implémenter cette fonctionnalité dans toute sa gamme AMD. (source)
L comme Licorne (00:39:28)
- Exotech devient la 25eme licorne francaise. La start-up est spécialisée dans la conception de robots et bras articulés à destination des acteurs du e-commerce. (source, source)
N comme Nvidia (00:50:32)
V comme Virus (00:58:51)
- SysJoker: le malware qui tourne même en natif sur les Mac M1. Un logiciel malveillant qui fonctionne à la fois sur les Mac Intel et M1. (source, source, source)
W comme Wemenon (01:06:27)
- Une application minimaliste. Just Button, c’est juste un bouton et un compteur. (source)
Bonjour, tout d’abord merci pour votre Podcast que j’écoute toujours avec beaucoup de plaisir. j’aimerais revenir sur la partie sur l’application Elyze.
Une précision : aucun « sous-entendu » ne doit être lu dans ce commentaire, celui-ci a pour but d’apporter des éléments d’informations complémentaires avec le biais d’un chef d’entreprise plutôt orienté à gauche (et oui ça existe).
En espérant que ce « disclaimer » m’extraira de la catégorie » Théorie du complot » évoquer dès le début de la chronique, trop souvent utilisé pour discréditer, de fait, toutes critiques ou débat.
Être a-partisant n’exclus pas la perméabilité, d’opinion, idées et concepts d’une famille politique.
Pour illustrer cette influence, vient la question de la présence de M. Macron dans l’application, celui-ci n’étant pas encore candidat.
« C’est évident qu’il est candidat » : l’automaticité de la candidature d’un président sortant est invalidé par le non-candidature de F. Hollande en 2017. À moins d’apporter un avis sur les actions politiques des deux présidents et d’en tirer des conséquences, de faite, orienté politiquement.
« Il est très haut dans les sondages » : les méthodes utilisées par les sondages sont critiquées. Établie sur des formulaires en ligne, il exclut de fait un public votant non initié aux technologies ou n’ayant pas le temps/envie de répondre. De plus, afin de réduire la volatilité, le choix de sélectionner, parmi le panel équilibré statistiquement, uniquement ceux étant sûr de leur choix, exclu une bonne partie des électeurs de gauche, dans une grande confusion actuellement (c’est le moins que l’on puisse dire) .
Sans être étudiant de Science-Po, chacun peut apprécier les répercussions du choix de faire figurer ou non des candidats. Qui plus est, en créant une hiérarchie vis-vis de sa position de la liste, devenant choix par défaut en cas d’égalité, par les contraintes techniques indiqué dans la chronique. Néanmoins, même des développeurs talentueux ne sont pas à l’abri d’erreurs de conception, il n’y a probablement pas de malice dans celle-ci.
Dernier point, la non-présence des « petits candidats » est un jugement de valeur ne pouvant pas s’inscrire dans une démarche de neutralité.
L’objectif de base est bon : intéressé les jeunes à la politique, cependant le nombre de biais sont trop importants pour être confié à un tiers : Comment sont sélectionnées les propositions ? Reposant sur quelle source : publication officielle du candidat, intervention publique, propos rapporté par la presse ? Comment sont-elles rédigées ( par exemple, l’utilisation de « charges sociales » orientera la question à droite et « cotisations sociales » à gauche )
Les interventions et débats des candidats sont multiples sur internet pour se faire sa propre opinion. Les programmes sont désormais disponibles pour certains. L’objectif est de « donner l’envie d’avoir envie » de s’y intéresser.
Mettre la focale sur les propositions plutôt que la « course des petits chevaux » est une bonne voie.
Et, comme a dit un autre philosophe : « il y a une différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin ».